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L'actualité en Colombie, en France et dans le monde

20 juin 2007

El Tiempo, 19/06/2007. Déplacés en Colombie

Colombia tiene tres millones de desplazados, un millón más que hace un año, dice Acnur

La cifra es una de las sorpresas del último informe de la oficina del Alto Comisionado de las Naciones Unidas para los Refugiados (Acnur), publicado con motivo del Día Mundial del Refugiado.

Según el organismo internacional, 3 de los 13 millones de desarraigados internos a los que atendió el año pasado en todo el mundo son colombianos. Esta cifra, que equivale al 23 por ciento del total, elevó al país al indeseable primer lugar en número de desplazados atendidos por esa agencia de la ONU.

En el informe, titulado 'Tendencias globales 2006, se aclara que el cálculo para ciertas naciones, incluida Colombia, fue revisado. En consecuencia de la actualización, se pasó de 2 a 3 millones de desplazados. [...]

Hay 14 millones de refugiados

En cuanto a los refugiados, que a diferencia de los desplazados traspasan las fronteras de su propio país durante la huida, la guerra en Irak fue el principal factor para que aumentaran por primera vez desde el 2002.

Según Acnur, el número de refugiados creció 14 por ciento con respecto al 2005, o sea 1,2 millones más, y se situó por encima de los 14 millones en todo el mundo.

Los afganos constituyen el grupo más importante de refugiados, con 2,1 millones en 71 países. Luego vienen los iraquíes (1,5 millones), los sudaneses (686.000), los somalíes (460.000) y los del Congo y Burundi (400.000 cada uno).

Lo peor es que Colombia también está cerca de los primeros lugares en este campo. Si se suman los refugiados colombianos en Ecuador (250.000), Venezuela (20.000), Costa Rica (20.000) y Panamá (12.500), pasan de 300 mil. [...]

* CON INFORMACIÓN DE AFP, AP

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26 mai 2007

Le Monde, 26/05/2007. De la difficulté de nos relations sociales...

Pourquoi Toyota n'est pas français

par Frédéric Lemaître

Extrait...

C'est là que la comparaison avec la France est cruelle. Même si les études internationales dans ce domaine sont aléatoires, tout indique que l'archaïsme des relations sociales en France a un impact direct sur l'organisation et donc les conditions de travail puis, in fine, sur la performance des entreprises. Comme le démontre l'économiste Thomas Philippon dans un essai très stimulant, Le Capitalisme d'héritiers (Seuil, 110 p., 10,50 €), les Français n'ont aucune allergie particulière au travail. Au contraire, ils sont, dans les pays développés, parmi ceux pour qui le travail est le plus important. De même, nombre d'entre eux jugent important d'apprendre à leurs enfants à "travailler dur".

24 mai 2007

Le Figaro, 16/03/2007. Histoires de krachs

Histoires de krachs

Sylvain D'Huissel, Le Figaro 16/03/2007.

La spéculation a traversé les siècles. De la Tulipomanie au 17° siècle à la bulle Internet des années 2000, tous ces évenements ont eu des répercussions sur l'économie réelle.

Début du 17° siècle: La Hollande subit le premier krach de la Tulipe. Le bulbe d'une espèce rare, Semper Augustus, affiche un cours de 1000 florins en 1623. Quelques années plus tard, en 1637, il a plus que quintuplé. Le revenu moyen d’un hollandais correspond à peine à 3% de la valeur d’un bulbe d’alors. Un cabaretier aurait même échangé son établissement contre 3 bulbes de Tulipes. Mais les choses se retournent brusquement, à la fin de la décennie. La valeur du bulbe chute. En 1642, sa valeur a été divisée par dix. L’Europe connaît alors une profonde récession.

1720 : Faillite de la banque de Law. Un audacieux banquier écossais, John Law, invente la forme moderne du billet de banque, dérivé du système qui porte son nom. La Banque générale qu’il crée en 1716 émet les premiers billets, absorbe tour à tour les compagnies coloniales françaises et devient même par la suite une banque d’Etat. Mais le système trouvera sa limite en 1720. Après avoir émis plus de billets que l’or qu’on lui avait confié ne pouvait en garantir la valeur, les actionnaires de la banque perdront confiance au système et demanderont à récupérer leurs dépôts. C’est la banqueroute. Celle-ci acculera nombre de petits épargnants à la ruine et alimentera le ressentiment d’une partie de la petite bourgeoisie à l’encontre du milieu financier en général.

1873 : Vienne connaît le 9 mai de cette année là une crise boursière sans précédent dans le pays. Le krach se répandra dans toute l’Europe et en particulier en Allemagne, et aux Etats-Unis. C’est le début d’une période de stagnation qui durera 23 ans, jusqu’en 1896.

1882 : Krach de l’Union Générale. La banque d'affaires catholique fait faillite, entraînant avec elle les bourses de Paris et de Lyon. La fermeture de la bourse de Paris n’est évitée que grâce à un prêt exceptionnel de la banque de France. Ceci entraînera un peu plus l’économie française dans la crise, entraînant l’apparition de mouvements populistes, comme le boulangisme.

1929 : krach à Wall Street. Durant les années 20, la consommation américaine explose, ce qui par conséquent fait les beaux jours des entreprises américaines et de leur cours de bourse. La spéculation s’empare de l’américain moyen qui paye à crédit ce qu’il achète et s’endette même pour acheter des actions. Une forte hausse des taux d’intérêts de 1927 à 1929 prépare le terrain à un retournement, qui interviendra réellement le 24 Octobre 1929. Les cours s’effondrent de plus de 12%. Une nouvelle chute interviendra le mardi 29 Octobre, mettant ainsi un terme à des années de folle spéculation. Cette crise boursière se transformera en crise économique mondiale, et aura de graves répercussions en Europe, ou les totalitarismes écloreront.

1987 : Wall Street voit ressurgir des démons vieux de 58 ans. Le Dow Jones, principal indice de Wall Street, perd 22.62% en une seule journée, suite à un mauvais chiffre du déficit commercial et d’un relèvement des taux de la Bundesbank. La remontée des taux d’intérêt avait auparavant réduit l’attractivité des actions, survalorisées, par rapport aux placements obligataires.

2000 : Fin de la bulle Internet. Le Nasdaq, indice des valeurs de croissance, culmine alors à 5132 points. Le mirage économique autour de l’arrivée d’Internet couplée à celle de la banque en ligne occultent certains fondamentaux économiques, si bien que toute société technologique est prise d’assaut par les investisseurs. Le retour de bâton se payera comptant. A partir de mars 2000, la bulle se dégonfle. En mars 2003, le Nasdaq frôlera les 1100 points.

21 mai 2007

INSEE Première mai 2007, L'économie française depuis 1959

26 mars 2007

Courrier international, 26/03/2007. Anniversaires de Gabo!

  "Cent Ans de solitude" revu et corrigé par l'auteur

"Dans toutes les librairies de Cartagena", sur la côte caraïbe colombienne, rapporte El Tiempo "reposent dans des caisses bien scellées des milliers d'exemplaires de l'édition commémorative de Cent Ans de solitude", de Gabriel García Márquez. "Les libraires ont interdiction de les vendre et même de les présenter à la vue de la clientèle avant que ne commence, lundi 26 mars, la première session du Congrès international de la langue espagnole, au cours de laquelle les académiciens rendront hommage au Prix Nobel de littérature", souligne le quotidien colombien.

La maison d'édition Alfaguara, qui publie en espagnol l'œuvre la plus connue de García Márquez, avait prévu un "tirage initial de 500 000 exemplaires, revu à la hausse à 650 000 compte tenu des demandes émanant de différents pays avant même que l'ouvrage ne soit mis en vente", ajoute El Tiempo.

Quarante ans après l'avoir écrit, Gabo a revu lui-même la nouvelle édition de Cent Ans de solitude. Il a notamment corrigé, rapporte le quotidien, des concordances de temps, introduit des effets de style, des changements lexicaux.

Le texte original est aussi accompagné d'un arbre généalogique de la famille Buendía, et d'un glossaire expliquant une centaine de termes utilisés dans le roman. Les écrivains Carlos Fuentes et Alvaro Mutis, tous deux sollicités par Alfaguara, contribuent à cette nouvelle édition avec deux textes : "Ce que je sais de Gabriel", pour Alvaro Mutis, et "Pour donner un nom à l'Amérique", de Carlos Fuentes.

"Cent Ans de solitude, réalité totale, roman total", un texte écrit il y a plusieurs années par Mario Vargas Llosa, fait aussi partie du recueil, tandis que l'académicien Victor García de la Concha a écrit pour l'occasion "Gabriel García Marquez, à la recherche de la vérité poétique".

"Les 606 pages de cette édition commémorative ont été imprimées il y a peine vingt jours", conclut El Tiempo.

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25 mars 2007

Traité de Rome: 50 ans. Site dédié

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25 mars 2007

Le Monde, 25/03/2007 et 27/10/2004 - INA. Traité de Rome

Le 25 mars 2007, 50 ans plus tard...

L

es dirigeants européens ont adopté dimanche 25 mars , pour les 50 ans du traité de Rome, la déclaration de Berlin. Ce texte fixe juin 2009 comme objectif pour l'entrée en vigueur d'un nouveau traité. Celui-ci doit remplacer le traité constitutionnel rejeté en 2005 par référendum en France et aux Pays-Bas.

La chancelière allemande Angela Merkel, présidente en exercice de l'UE et les présidents de la Commission et du Parlement européens, José Manuel Barroso et Hans-Gert Pijttering, ont signé en grande pompe ce document au musée historique allemand, en présence des chefs d'Etat et de gouvernement des 27 pays de l'Union européenne.

"Nous mettons en oeuvre nos idéaux communs au sein de l'Union européenne", affirme la déclaration, adoptée à l'issue de difficiles tractations entre Berlin et les capitales de l'UE ces dernières semaines.

Après une introduction historique, le texte évoque les valeurs communes de l'Europe, puis mentionne les défis d'avenir tels que le terrorisme ou la pauvreté avant de conclure sur la nécessité de rénover les fondements de l'Union européenne. [...]

Le 25 mars 1957...

E 25 MARS 1957, à Rome, les ministres des affaires étrangères de six pays européens (l'Allemagne, la France, l'Italie et les trois Etats du Benelux) signent solennellement deux traités créant l'un la Communauté économique européenne (CEE), l'autre la Communauté européenne de l'énergie atomique (Euratom). Ces deux accords entreront en vigueur dès le 1er janvier 1958 après ratification par les Parlements nationaux. L'Allemand Walter Hallstein prendra la présidence de la Commission chargée d'exercer l'exécutif de la CEE. Les Français Louis Armand, Etienne Hirsch et Pierre Chatenet exerceront tour à tour celle de la Commission placée à la tête d'Euratom. Les deux Commissions fusionneront en 1967 : du Belge Jean Rey au Portugais José Manuel Barroso, en passant par le Français Jacques Delors, neuf personnalités se succéderont à la présidence de l'exécutif commun.

Deux événements ont précipité, dans les années 1950, la signature des traités de Rome : l'échec de la Communauté européenne de défense, en 1954, qui a ruiné pour longtemps les espoirs d'une union politique, et le fiasco de l'expédition franco-britannique de Suez, en 1956, qui a fait apparaître la faiblesse des deux grandes puissances européennes ainsi que les menaces pesant sur leur approvisionnement en énergie. « Ensemble, en développant et en unissant leurs ressources, déclare alors le Comité d'action pour les Etats-Unis d'Europe, créé par Jean Monnet, nos pays peuvent parvenir à produire de l'énergie atomique à temps et en quantités suffisantes pour maintenir dans les limites raisonnables leurs importations de pétrole et de charbon » : c'est l'objet du traité Euratom. Second volet du projet, un marché commun est créé pour étendre l'intégration aux autres domaines de la vie économique, en commençant par une union douanière qui supprimera, à terme, les tarifs intérieurs et unifiera les tarifs extérieurs. Des politiques communes sont mises en place, ouvrant des perspectives ambitieuses. C'est le but du traité sur la CEE. « L'option n'est pas entre la Communauté et le statu quo, mais entre la Communauté et la solitude », déclare à l'Assemblée nationale le rapporteur du projet Alain Savary. [...]

... dans les archives audiovisuelles (cliquer sur l'image)

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23 mars 2007

El Tiempo, 23/03/2007. Croissance colombienne

La economía colombiana creció 6,8 por ciento en el 2006

Un crecimiento del Producto Interno Bruto (PIB) mayor a esa cifra no se veía desde 1978 cuando fue de 8,5 por ciento. [...]

Otro de los hechos que explica el buen comportamiento de la economía en el 2006 es el crecimiento del 9,55 por ciento en la demanda final.

El consumo total aumentó en 5,63 por ciento, la formación bruta de capital se incrementó en 26,89 por ciento.

El año pasado la demanda interna de la economía aumentó en 9,88 por ciento, comportamiento representado por el incremento del consumo final en 5,63 por ciento, el consumo de los hogares en 6,71 por ciento, el consumo del Gobierno en 2,14 por ciento.

Los siguientes son los índices de crecimiento de la economía colombiana en los años anteriores:

  • 2005: 4,72 por ciento
  • 2004: 4,87 por ciento
  • 2003: 3,86 por ciento
  • 2002: 1,93 por ciento
22 mars 2007

Dinero, 22/03/2007. Plainte auprès de l'OMC contre l'U.E.

Colombia denuncia política bananera de la UE

Ginebra.- Colombia volvió a demandar a la Unión Europea en la Organización Mundial del Comercio, acusándola de aplicar una política injusta para la importación de bananos.

Colombia incoó la demanda el miércoles por la tarde, al día siguiente de que Ecuador solicitara a la OMC investigar si la política de la UE para la importación del banano se ajustan a las normas de la OMC, dijeron fuentes de la organización.

El diferendo, que se remonta a 1996, envolvió hasta ahora a Estados Unidos y otros países latinoamericanos. Aunque éstos respaldan la posición de Ecuador, Colombia es la primera nación que se une a la disputa judicial o presenta una demanda propia contra el bloque europeo.

La OMC falló consistentemente contra la forma en que la UE fija sus tarifas a la importación bananera, obligando a las 27 naciones del bloque a reformar un sistema que favorece a los países productores caribeños y africanos, principalmente las ex colonias británicas y francesas.

Los productores latinoamericanos y las empresas bananeras con sede en Estados Unidos se han quejado desde hace tiempo que las normas de la UE favorecen a los productores caribeños y africanos. Estados Unidos, en 1999, y Ecuador un año después obtuvieron el derecho a imponer sanciones mercantiles a los bienes europeos al fallar la OMC que la norma de la UE es ilegal.

Un acuerdo firmado en el 2001 dio a las 27 naciones de la UE cinco años para cumplir las normas de la OMC. Bruselas dijo que una nueva tarifa bananera establecida el año pasado _ 176 euros (234 dólares) por tonelada _ ajustó sus normas para exportación del producto a las normas de la OMC.

La misión de Colombia ante la OMC se negó a comentar la medida.

Ecuador, el mayor productor bananero del mundo, denunció que la nueva tarifa le ha despojado de una parte de su mercado tradicional en Europa, perjudicando a más de un millón de ecuatorianos que dependen de la industria bananera. Esas tarifas le han costado a Ecuador unos 131 millones de dólares, dijo el negociador comercial Juan Holguín.

La UE lamentó la actitud de Ecuador y la medida que adoptó hace dos semanas, acusando al país de buscar un trato preferencial a expensas de los países más vulnerables en el sistema de comercio global. Bruselas afirma que prefiere un acuerdo negociado.

Camerún, la República Dominicana y Jamaica respaldaron a la UE después que Ecuador presentara su petición hace dos años. Colombia, Costa Rica, Guatemala, Honduras, Nicaragua y Panamá apoyaron la posición ecuatoriana. La respuesta estadounidense fue más ambigua.

Las bananas procedentes de la América Latina sufren en la actualidad un arancel del 60% cuando son importadas por la UE, mientras que los productores africanos y caribeños, en su gran mayoría ex colonias europeas, sólo tienen que pagar el 20%, según las autoridades mercantiles del bloque. Las bananas producidas en la UE, principalmente en las islas españolas y francesas del Atlántico y el Mediterráneo, suman el otro 20%.

La disputa iniciada hace 11 años ha dado pie a varios casos en la OMC al adentrarse los abogados en polémicas mercantiles y legales nunca analizadas hasta la fecha.

21 mars 2007

Le Monde.fr, 20/03/2007. Francophonie

FRANCOPHONIE

[...] Avec 175 millions de personnes officiellement recensées par l'Organisation internationale de la francophonie (OIF), le nombre de francophones augmente. Mais cette croissance traduit avant tout celle de la population, notamment en Afrique. Dans certains pays, comme le Gabon, le Cameroun ou le Maroc, le français conserve sa place, voire l'améliore. En revanche, il recule au Congo, en Centrafrique ou au Tchad. Plus grave, il baisse sévèrement dans tous les pays européens. Enfin, il s'effondre au Vietnam et au Cambodge. [...]

Le français en partage

53 Etats et gouvernements font partie de l'Organisation internationale de la Francophonie, avec la répartition suivante : 53 Etats et gouvernements membres, 2 Etats associés et 13 Etats observateurs.

Les États et gouvernements membres de l'OIF représentent environ 10% de la richesse mondiale, avec de grandes disparités entre les membres. La population totale des États et gouvernements membres de l'OIF est de 715 millions. Elle est en moyenne très jeune avec notamment plus de 40 % des Vietnamiens, des Ivoiriens, des Malgaches ou des Haïtiens qui ont moins de seize ans.

Tous ces pays ne sont pas, à l'exception de la France, de la Suisse, de la Belgique, du Québec et des anciennes colonies françaises d'Afrique, des régions où le français est une langue officielle ou maternelle. La plupart d'entre eux pratiquent leur propre langue maternelle ou des langues internationales telles que l'anglais, l'arabe, l'espagnol ou le portugais. Tous déclarent cependant avoir "le français en partage" et revendiquent un attachement commun à la diversité culturelle, voire à un "humanisme intégral" propre à la culture française, selon le mot de Senghor.

Officiellement, le français, autrefois langue de l'élite et de la diplomatie, se situe au neuvième rang des langues les plus utilisées dans le monde.

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L'actualité en Colombie, en France et dans le monde
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